Ideal Ideal
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Présentation de la structure
Informations sur la structure mises à jour le 8 janvier 2024
association porteuse de 6 chantiers d'insertion, sur 10 supports différents : Patrimoine, Multiservices, Entretien des locaux, maintenance, Bois, Mécanique 2 roues, magasinage, valorisation du matériel informatique, communication écrite, communication digitale
Les chantiers d’insertion ont pour objet l’embauche de personnes sans emploi rencontrant des difficultés sociales et professionnelles particulières. Les personnes ainsi embauchées sont titulaires d’un véritable contrat de travail (contrat à durée déterminée d’insertion), et acquièrent, par le biais du chantier, des savoir-faire et savoir-être transférables sur d’autres corps de métiers. Un emploi dans un chantier d’insertion est un passage, en aucun cas une fin en soi ; le but est bien de permettre à chacun de poursuivre sa route vers un emploi durable, passant éventuellement par une formation.
Un accompagnement socioprofessionnel, à la fois dans l’emploi au sein de la SIAE et vers l’emploi à la sortie de la SIAE, est pris en charge par le CIP (conseiller en insertion professionnelle) qui cherche à outiller le salarié en insertion pour lui assurer une sortie dynamique de la SIAE.
Les moments clefs du parcours :
- Identification des problématiques sociales (freins) et proposition de solutions. L’insertion sociale et l’insertion professionnelle sont étroitement liées. Le chargé d’insertion répond aux différentes problématiques selon l’évolution du parcours d’insertion du bénéficiaire. Il met en place un accompagnement individualisé qui permet d’assurer le bon déroulement de l’activité professionnelle dans la structure.
- Intégration au travail (conseil technique et l’apprentissage du métier, valorisation travail, lien avec l’encadrant technique, travail en équipe). L’aspect de la transmission de la technicité revêt donc toute son importance et correspond à une formation par le travail, une formation sur le tas : apprendre en travaillant, travailler en apprenant.
- L’autonomisation du salarié : il s’engage à faire des démarches et le CIP s’engage en contrepartie à l’accompagner dans ces démarches-là (on le formalise par écrit)
- Élaborer un projet professionnel cohérent et réalisable, et mettre tout en œuvre pour y arriver : acquérir les savoir-être et savoir-faire professionnels, transférables à tout corps de métiers, chercher des pistes de formations si nécessaires et postuler sur des offres d’emploi.
Les chantiers d’insertion ont pour objet l’embauche de personnes sans emploi rencontrant des difficultés sociales et professionnelles particulières. Les personnes ainsi embauchées sont titulaires d’un véritable contrat de travail (contrat à durée déterminée d’insertion), et acquièrent, par le biais du chantier, des savoir-faire et savoir-être transférables sur d’autres corps de métiers. Un emploi dans un chantier d’insertion est un passage, en aucun cas une fin en soi ; le but est bien de permettre à chacun de poursuivre sa route vers un emploi durable, passant éventuellement par une formation.
Un accompagnement socioprofessionnel, à la fois dans l’emploi au sein de la SIAE et vers l’emploi à la sortie de la SIAE, est pris en charge par le CIP (conseiller en insertion professionnelle) qui cherche à outiller le salarié en insertion pour lui assurer une sortie dynamique de la SIAE.
Les moments clefs du parcours :
- Identification des problématiques sociales (freins) et proposition de solutions. L’insertion sociale et l’insertion professionnelle sont étroitement liées. Le chargé d’insertion répond aux différentes problématiques selon l’évolution du parcours d’insertion du bénéficiaire. Il met en place un accompagnement individualisé qui permet d’assurer le bon déroulement de l’activité professionnelle dans la structure.
- Intégration au travail (conseil technique et l’apprentissage du métier, valorisation travail, lien avec l’encadrant technique, travail en équipe). L’aspect de la transmission de la technicité revêt donc toute son importance et correspond à une formation par le travail, une formation sur le tas : apprendre en travaillant, travailler en apprenant.
- L’autonomisation du salarié : il s’engage à faire des démarches et le CIP s’engage en contrepartie à l’accompagner dans ces démarches-là (on le formalise par écrit)
- Élaborer un projet professionnel cohérent et réalisable, et mettre tout en œuvre pour y arriver : acquérir les savoir-être et savoir-faire professionnels, transférables à tout corps de métiers, chercher des pistes de formations si nécessaires et postuler sur des offres d’emploi.